mardi 24 avril 2012

Lettre de Juillet 2010


Juillet 2010



Les limiteS




Un nouvel ordre mondial se met en place, avec un début de stratégie commune.
Consensuellement, un homme a été désigné pour sa compétence à la tête du FMI et des pouvoirs lui ont été attribués. Celui-ci a demandé plus de rigueur dans la gestion des Nations. Il conviendrait que les Peuples lui fassent confiance, et au prix d’efforts importants qu’il incombe à nos contemporains de réaliser, assainir les comptes des Nations, tout en veillant cependant à maintenir un certain  niveau économique : il va falloir rattraper des années de  gestions étatiques laxistes (souvent lié à des promesses politiques d’ambitions irresponsables et autres  surenchères) et d’une déliquescence morale en général, redonner une vision et un élan commun ainsi que, ce me semble indispensable et lié, un sens spirituel à tout cela.

Ceux qui cherchent, le plus souvent à des fins personnelles, partisanes mais globalement stériles à s’opposer au courage des Gouvernements en place, à fortiori dans des Démocraties, seront repérés comme étant des êtres assoiffées d’ambition, guidant le Peuple tels des aveugles. Ils seront faciles à reconnaître, car ils s’appuient sur les sentiments de frustration, d’inquiétude des populations qui certes soufrent, mais ne proposent pas vraiment d’alternatives réelles et potentiellement efficientes et durables. Ils se remarquent, de par le monde, par leur agressivité verbale, traduisant davantage de la haine ou de la jalousie (qu’ils ne sont pas suffisamment parvenus à surmonter) vis-à-vis d’un pouvoir qui les fascine. En fait, ils sont peu respectueux en général, et de l’ordre des choses en particulier, et, au lieu de faire de mauvaise fortune bon cœur, ils (se) fuient en avant, entraînant le peuple ou partie dans la contestation d’un temps révolu quasi systématiquement, ne pensant qu’à se battre au travers des luttes diverses mais agressives, et très souvent  préjudiciables au plus grand nombre, dans l’instant et à plus long terme.
On les reconnaîtra par leur vocabulaire, par leur éructations et leur insatiété de privilèges (relatifs/plus grand nombre) : on n’a pas a appeler un chef d’Etat ou un haut responsable politique par un sobriquet ou à pousser les populations le grimer odieusement dans le sphère publique ; l’intention sous jacente dénote une attitude haineuse,  malveillante ou malsaine (sauf exceptions de luttes, contre le non respect (répressif) des droits de l’homme.
Exemples : - On n’a pas à prononcer devant les médias en particulier des diminutifs comme Béré ou Sarko, surtout quand on prétend représenter le Peuple ou partie ; mais mes exemples sont mal choisis car franco-français (ce sont ceux que je connais le mieux), alors que mes propos sont de portée plus générale. Le respect, ça commence par la aussi. C’est une image de son soi intérieur que l’on dévoile ainsi aux autres, pour peu qu’on sache voir un au-delà des apparences. Souvent ce genre de personnes trichent aussi pour arriver à leurs fins, trompent ceux qui les suivent, et ne le savent pas forcément, mais se trompent eux-mêmes. Par manque d’introspection. Le respect conduit au respect, ce qui ne signifie pas « langue de bois » pour autant, sur des attitudes précises. C’est tellement plus facile de chercher des fautes chez les autres que chez soi. D’où le sens profond du « connais-toi toi-même » des philosophes, plus poussé encore, avec un vocable différent chez quelques  mystiques.


Certains avantages, acquis après de hautes luttes, que d’autres appèlent chantages, voire prises d’otages de la population (ou partie)  plus raisonnable et/ou plus résignée, apparaissent dés lors disproportionnés vis-à-vis d’autres catégories ou d’autres Nations, et si l’harmonie doit passer par une tendance à l’harmonisation fiscale et sociale comme il me semble, il faudra accepter que les plus socialement avancés fassent quelques raisonnables concessions, pendant que d’autres peuples rejoindront péniblement ceux qui pourraient leur apparaître comme de  relatifs nantis égoïstes, parfois caricaturés en un seul mot.

Ainsi, dans la mesure où un plan de relance ou d’austérité est demandé par le directeur du FMI qui en a compétence à toutes les Nations, attention à ceux qui exciteront  les peuples, qui s’appuieront et exacerberont leur désespoir, leurs frustrations et masqueront par la colère et la disharmonie leur incapacité à apporter concours et assistance à leur Nation et au delà. Car ceux qui cherchent à monter les hommes les uns contre les autres, agissent souvent comme des hyènes à l’affût d’avantages partisans ou corporatistes, susceptible de leur amener sympathie, notoriété, gloire  ou pouvoir. Ce sont le plus souvent des assoiffés impénitents qui non satisfaits de vouloir le beurre, veulent l’argent du beurre, réclament le sourire de la crémière …et le reste ! Plus ils sont hargneux, dogmatiques, vociférateurs et menaçants, moins ils sont exemplaires.
Car ce qui importe d’une façon générale, c’est d’apporter sa contribution dans nos différentes sphères, en privilégiant prioritairement les sphères supérieures, car ensuite en découlera l’harmonie des sphères inférieures. Dans le cas contraire, il y a une sorte d’effet boomerang négatif sur les différentes sphères  le plus souvent :
Expl : le Nationalisme et l’impérialisme peuvent accroître durant un temps l’aura et la richesse d’une Nation, mais provoquer un rejet à l’international de qui en pâtit, et s’avérer contre productif y compris économiquement à terme.
Expl : l’usage corporatiste déraisonnable et/ou excessif de la grève permet d’obtenir des avantages pour ses membres en un temps donné, mais nuire à la société ou à la Nation sur plus long terme ; ça a été le cas des dockers aux gros bras, où les acquis ont été relativement trop importants, ce qui a conduit, concurrence internationale obligeant, à la perte de clientèle, à la perte de confiance, à la  fermeture de sites pour certaines Nations, et à privilégier pour les clients des zones où les gens aiment ou s’obligent raisonnablement à leur travail. Bilan : Quelques temps après, pour quelques relatifs nantis, la profession est sinistrée durablement, mais  la souffrance engendrée par ces pertes d’emplois…ne sera peut-être pas perdue pour tout le monde…




L’appel à la grève de la rentrée dans notre Nation, comme dans la plupart des autres, me parait globalement injustifiée et contreproductive.
Je suis là aussi pour trancher, expliquer et défendre la vision juste que je porte. Je le fais ici, et continuerai à le faire dans la mesure du possible.